Bonjour !

J'ai grandi à Strasbourg, à quelques pas du Parlement Européen, où j'ai vécu jusqu'à mes 18 ans. Parcours scolaire exemplaire porté par un "sois parfait" à peine dissimulé, j'occupais mon temps libre à faire du foot en club, jouer du piano ou écrire des poèmes.

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2012, année du bac et surtout année des choix : que faire pour les études supérieures ? La question me tétanise, alors pour remettre cette décision à plus tard - et parce que j'aime apprendre - je m'inscris en classes prépa au collège Stanislas (Paris). Les conditions d'étude y sont excellentes, je ne m'attarde pas sur le folklore religieux qui les entoure.

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À l'été 2014, j'apprends avec fierté que je suis reçu à HEC Paris ! Exit les polys de maths touffus, la dizaine de manuels d'histoire-géo-géopo et les montagnes de fiches Bristol, je troque le tout pour une vie de campus qui sent bon la fête, l'insouciance et... l'impro ! Car oui, c'est à HEC, au sein de l'association Impro've, que je découvre pour la première fois cet art magique de l'instant. Et celle qui m'y initiera n'est nulle autre que Nathalie Gobin 💚

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Avance rapide sur mes 4 années à HEC : après un début poussif, je trouve progressivement mes repères et termine avec une année de master 2 en "innovation sociale et développement durable". Les sujets abordés en cours me parlent, un super esprit de promo se crée entre des étudiant·es d'une trentaine de pays différents, mon sujet de mémoire sur les liens entre intelligence artificielle et création musicale me passionne... le seul hic, c'est que tout ça ne dure qu'un an, et que je vois déjà poindre à l'horizon la question soigneusement glissée sous le tapis depuis mon entrée en prépa : quel métier choisir ?

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J'ai beau sonder les offres, les boîtes ou les secteurs, la perspective d'un CDI qui m'accapare 5 jours de la semaine ne m'enchante guère. Aussi, je prends mon courage à deux mains. La musique, l'écriture, le rap : ça j'aime ! Qu'est-ce que ça pourrait donner de m'y consacrer sérieusement une fois mon diplôme en poche ?​

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Alors que je commence à parler de ce projet à mon entourage, un alumni de mon école me contacte sur LinkedIn. "Salut, j'ai co-fondé un cabinet de conseil en data, j'aime bien ton profil, on recrute... ça te dirait qu'on en parle ?". Je saisis la perche qu'on me tend et, après quelques négociations, je signe mon premier contrat d'auto-entrepreneur avec le cabinet Cartelis. Sur le papier, la situation est plutôt chouette : je gagne ma vie en travaillant à mi-temps pour le cabinet, et je consacre l'autre moitié de la semaine à ma musique !

Dans les faits, c'est plus compliqué : mon projet artistique avance à grand-peine parce que je me mets beaucoup la pression et qu'un censeur interne quasi-omniprésent me met constamment des bâtons dans les roues dès que j'essaie de finaliser un morceau. Je finirai quand même par sortir quelques maquettes sur une chaîne Soundcloud, que vous pouvez écouter ici si vous avez l'oreille curieuse.

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Quel rapport avec Next me direz-vous ? J'y viens ! En parallèle de mes activités d'écriture et d'enregistrement de morceaux, je me dis que trouver une autre occupation artistique, en tant que loisir, pourra remplir un double objectif : m'aérer l'esprit et indirectement nourrir mes créations musicales.

Cela fait quelques années que j'ai laissé l'impro de côté, et l'envie de reprendre me chatouille !

J'écris à d'anciens camarades d'impro de l'époque HEC et intègre en septembre 2021 la jeune troupe Minuit Moins Une.

 

Et là, c'est le plot twist que j'avais pas vu venir dans le scénario de ma propre vie !

Introduite comme une timide activité annexe dans un agenda que j'ai le don de surcharger, l'improvisation se ménage au fil du temps une place grandissante. Sessions hebdomadaires, stages, spectacles, festivals... l'impro a le don de me stimuler et de m'épanouir. Dire "l'impro" cela fait un peu abstrait, si je nomme les gens qui m'ont beaucoup appris en la matière, il y a, après Nathalie, un certain trentenaire à la barbe taillée et aux yeux pétillants, du nom de Romain Cadoret ❤️

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Un soir de printemps 2022, après notre séance hebdo avec la troupe, je vais voir Romain qui nous donnait cours ce jour-là. En substance, je lui dis : "tu nous as raconté que tu bosses pour Next Level, moi je suis en freelance et en ce moment j'ai du temps entre deux missions. Est-ce que vous travaillez avec des indépendants, et si oui comment ça marche ?". À mon moyen étonnement (il n'était pas grand mais ça m'a quand même surpris), Romain prend ma question au sérieux. "Ça t'intéresse vraiment ? Prenons le temps d'en parler". S'en suivirent plusieurs rendez-vous avec l'homme au béret, qui furent mes premiers pas dans l'écosystème Next Level.

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Octobre 2022, je décroche le précieux sésame : une première mission ! Direction Perpignan pour co-animer une journée Smartstore Orange. Je suis excité, nerveux, curieux, désireux de bien faire, à l'écoute de tous les signaux...

La formation se passe très bien et c'est vanné mais comblé que je retourne sur Paris ! À partir de ce moment, je me promets de faire le maximum pour trouver ma place dans la formidable communauté des Next Levelers !

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Près de 2 ans et demi plus tard, je suis ravi de voir que ces efforts ont porté leurs fruits.

Je bosse avec des personnes incroyables, dont certaines sont devenues des ami·es, j'explore avec beaucoup d'intérêt l'univers des softs skills et j'ai la chance de transmettre via l'impro les bases d'une meilleure communication à un grand nombre de gens.

Et puis on va pas se mentir, le TJM est quand même plus sexy que sur mes précédentes missions !

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Travailler avec Next et Kenober, cela m'a amené à organiser un improteam mémorable sur le thème des super-héros pour Chanel, cela m'a conduit - en train bien sûr - jusqu'à Munich, Berlin et même Prague pour animer des ateliers d'impro en allemand ! Cela m'a permis de vivre une superbe Fabrik Festival avec les étudiant·es de CentraleSupélec ou encore de rejoindre une colo de 16 formateur·rices pour enflammer le séminaire d'Octopus Energy à Avignon !​

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Je me sens reconnaissant d'avoir pu embarquer dans cette aventure et d'exercer aujourd'hui un métier qui nourrit ma curiosité et ma quête de sens. Autrefois très dubitatif sur ma capacité à trouver un job qui me satisfasse sur la durée, je dis merci à la vie de m'avoir guidé jusqu'à cette activité de formateur/facilitateur qui m'épanouit profondément - et pour laquelle je sens que j'ai un certain talent !

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Devenir partenaire marque pour moi la prochaine étape de mon engagement au sein de la communauté Next. S'il fallait le formuler avec un AAA, je dirais que nous avons franchi avec succès les premières étapes d'Attraction et d'Appréciation réciproque. Le troisième et dernier A coïncide plaisamment avec l'univers du mariage : Alliance.

J'aimerais compter sur Next pour développer mon activité de formation/facilitation et Next peut compter sur moi pour soutenir le développement de son activité, à l'image de mon investissement au sein de la Green Team.

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Nous voici arrivé·es à la fin, merci pour votre attention 😊

J'espère vous en avoir dit davantage sur moi et sur mon envie d'écrire avec Next un nouveau chapitre ambitieux, à la fois sérieux et joueur, et tourné vers le vivant !

Si vous voulez plus de détail sur mon parcours, vous trouverez ci-dessous mon CV, ainsi que mon profil LinkedIn à ce lien. 

 

À votre dispo si vous avez des questions et à très bientôt, bises !